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17 résultats pour votre recherche 'humanisme'
Tri décroissant par
Thomas More et Jean de Léry
sillages.info

Ce cours de littérature comparée étudie les deux auteurs au programme du concours d’entrée 2016 à l’École normale supérieure de Lyon, à l’oral de Lettres modernes  : « L’Utopie » (1516) de Thomas More et « Histoire d’un voyage en terre de Brésil » (1578-1611) de Jean de Léry.

Les théories humanistes de la motivation (MOOC "In...
Université de la Réunion

La motivation

6.3 Les théories humaniste de la motivation

Le genre des miroirs des princes dans l'histoire d...
Ecole normale supérieure de Lyon

Le genre des miroirs des princes occupe une place quelque peu marginale dans l'histoire des idées politiques. Il traite, en effet d'un thème "les vertus du bon prince" qui relève davantage de l'exhortation morale ou de la prédication religieuse que de la théorie politique. Si son origine remonte à l'antiquité, il apparait essentiellement comme un genre médiéval renouvelé certes par l'éthique humaniste du Quattrocento mais remise en cause dans sa substance même, par les conditions nouvelles de la vie politique.

Sébastien Castellion : un réquisitoire contre la v...
Le Mans Université

Le nom de Sébastien Castellion ne figure pas parmi les plus connus des humanistes du XVIe siècle ni des intellectuels de la Réforme protestante. Disciple d'abord et même ami de Jean Calvin, à Strasbourg puis à Genève, Castellion attire sur lui les suspicions du réformateur et se réfugie à Bâle où il vit d'expédients (enseignant de grec à l'Académie, éditeur, ouvrier imprimeur).

On lui doit plusieurs traductions, notamment de la Bible (traductions latine et française), ainsi qu'un certain nombre de textes qui furent aussitôt condamnés comme subversifs (comme le Conseil à la France désolée de 1562) ou qui ne furent jamais publiés de son vivant : le Libelle contre Calvin ne sera par exemple publié qu'au XVIIe siècle et le De haereticis non puniendis (littéralement : « Il ne faut pas punir les hérétiques »), pour donner un autre exemple, attendra même sa publication jusqu'au XXe siècle.

Histoire(s) de l'ergonomie (6/7) - L’essaimage : l...
Université de Lorraine

HISTOIRE(S) DE L'ERGONOMIE (6/7) - L’ESSAIMAGE : LA DIFFUSION ET L’INTERNATIONALISATION« L’essaimage : la diffusion et l’internationalisation » constitue la sixième partie de la Grande Leçon Histoire(s) de l’ergonomie.Le développement de l’ergonomie en Europe (Suisse, Belgique, Pologne) est indissociable de l’ergonomie française et francophone. De grandes figures ont jalonné depuis plus de 50 ans les étapes de son évolution : Etienne Grandjean à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich ; Paule Rey à l’Université de Genève ; Jean-Marie Faverge et André Ombredane à l’Université Libre de Bruxelles ; et bien plus tôt, Wojciech Jastrzebowski à l’université de Varsovie.Le développement de l’ergonomie en Amérique du Nord et du Sud est au carrefour de deux courants de pensée : celui des Human Factors porté par les pays anglo-saxons et celui de l’activité porté par les pays européens et plus particulièrement par la France. Cette double appartenance ressort des propos tenus par les différents représentants du continent américain.Les auteurs - Eric Brangier (Université de Lorraine) et Annie Drouin (Société d’Ergonomie de Langue Française) - vous proposent d’aborder cette partie avec Nelcy Arévalo Pinilla, Tahar-Hakim Benchekroun, François Daniellou, Sounkalo Djibo, Bronislav Kapitaniak, Véronique de Keyser, Monique Lortie, René Patesson, Daniel Ramaciotti, Jean-Marc Robert, Laerte Idal Sznelwar et Gérard Valléry.

L'espoir à l'épreuve du progrès
Université de Bordeaux

Comment aider l'homme à sortir de la désespérance où le plonge l'angoisse existentielle de nos sociétés modernes individualistes ? Par l'espoir ou par le progrès, deux réponses distinctes, pour ne pas dire diamétralement opposées puisque l'espoir est une attente irraisonnée alors que le progrès est une action volontaire, un effort engagé.

Ainsi, l'espoir, par la passivité, l'inaction dont il s'accompagne, faute de changer les choses, ramènera sans cesse l'homme à la désespérance car ses espoirs seront tôt ou tard déçus. En revanche, comme l'ont développé les stoïciens, le progrès, généré par l'éducation, la connaissance et le raisonnement seul permettra à l'homme d'affronter son destin et de parvenir à la sagesse et la félicité.

Ces deux attitudes face au désespoir humain ont entretenu des rapports complexes et conflictuels durant l'histoire, influençant alternativement différentes époques. Ainsi, la pensée progressiste qui se développe avec Sénèque, marque à nouveau l'humanisme de la renaissance et des lumières, et plus tard la pensée de Marx sur le progrès social. Or, à toutes ces époques, cette idée de progrès a fini par être dévoyée et s'est transformée en messianisme irrationnel, le progrès, conçu comme une force extérieure qui ne nécessite ni volonté ni effort, devenant la projection dans l'avenir d'une société idéale ou d'un homme nouveau : l'espoir renaît alors, qui aboutira de nouveau au désenchantement et à la désespérance. Le XXe siècle avec ses crises, ses guerres, ses génocides...sera l'expression la plus évidente de cette déviation du sens du progrès vers ce nouvel espoir messianique. Mais cette nouvelle situation désespérée au sens philosophique du terme devrait conduire l'homme à se reprendre en main, à s'engager activement, seule réponse possible car efficace.

Une histoire sociale des langues romanes : Genèse,...
Université Paul-Valéry - Montpellier 3

Cette leçon raconte une histoire sociale passionnante : celle d’une langue – le latin – qui s’est transformée et a donné naissance à toute une famille linguistique : la famille romane.

L’étudiant découvrira comment, à partir des différentes variétés de latin qui se sont individuées de plus en plus à la suite de la disparition de l’Empire romain, s’est constituée la configuration sociolinguistique de la Romania. Il pourra apprécier le rôle des évènements politiques (invasions, guerres, conflits divers…), religieux (Christianisme, Réforme, Contre-Réforme…) et culturels (Humanisme, Romantisme…) dans la formation des langues romanes et dans l’évolution écolinguistique de l’Europe. En définitive, à la fin de cette ressource, l’étudiant sera en mesure de relativiser ce que l’on appelle le "poids des langues" (Calvet) et de mieux comprendre pourquoi certaines langues "ont réussi", c’est-à-dire sont devenues des langues d’État, symboles d’une Nation, porteuses d’une culture internationalement reconnue tandis que d’autres sont aujourd’hui en situation de minoration (et que d’autres ont disparu).

L’étudiant est guidé dans sa découverte par des contenus théoriques et interdisciplinaires, par des liens qui le dirigeront vers d’autres ressources offrant des informations complémentaires, par des cartes historiques qui lui serviront de repères, et qui montreront aussi le rapport étroit entre les différents processus de stabilisation stato-nationale et l’évolution sociolinguistique des langues d’Europe. Cela dit, le cœur de cette histoire est un important ensemble de documents historiques rédigés en langues romanes à différentes époques (dont les caractéristiques graphiques d’origine sont, presque toujours, respectées) accompagnés d’une version audio (pour certains d'entre eux), d’une traduction et d’un commentaire sociolinguistique. 

L'islam au regard de chercheurs musulmans en scien...
Le Mans Université

Depuis le début du XXe siècle, des chercheurs de confession musulmane ont choisi d'étudier la religion musulmane comme une pratique sociale liée à des éléments de culture et de civilisation dans des contextes particuliers, avec les outils des sciences humaines et sociales. Ce fut d'abord le cas en histoire, par exemple, puis dans d'autres disciplines comme la philosophie, la linguistique ou l'anthropologie. Ces intellectuels ont cherché à élaborer des concepts communs à divers champs et des théories scientifiques permettant de trouver de nouvelles réponses aux questions posées par les approches traditionnelles. Cette démarche, qui marque une inflexion épistémologique majeure, a visé à s'éloigner de toute influence mythique ou religieuse dans le cadre du travail académique. Ce changement épistémologique s'est effectué dans un mouvement de relations et de tensions entre ceux qui s'expriment en dehors des institutions religieuses et ceux qui cherchent à renouveler la compréhension de la société à travers la pensée religieuse. Il s'agit donc d'un processus complexe, avec de fortes oppositions. Les enjeux sont importants dans la mesure où les méthodes d'acquisition des connaissances mettent en jeu des valeurs et que leur mise à distance dans un cadre scientifique à des fins d'étude, peut apparaître comme une relativisation.

Les ulémas, disposant de connaissances religieuses élaborées au sein de disciplines fixées il y a plus d'un millénaire, ont œuvré dans le but d'apporter des réponses sûres et précises aux questions posées par l'homme, sur lui-même et sur sa vie. C'est ce savoir, fondé sur un corpus considérable, qui a été partiellement mis en question. Les chercheurs en sciences humaines et sociales n'ont, en effet, pas les mêmes prémices lorsqu'ils abordent le thème de la religion, et ils n'utilisent pas non plus les mêmes méthodes d'interprétation et d'explication du livre sacré des musulmans. Comme en milieu juif ou chrétien, cette rencontre entre deux approches fondées sur des épistémologies différentes a suscité et continue encore à susciter des débats. Deux exemples seront donnés des nouvelles lectures du patrimoine islamique. La première se présente comme une démarche interne, celle d'un point de vue « islamique humaniste », elle a été revendiquée par Mohammed Abed El Jabiri et par Mohammed Arkoun. La seconde est davantage externe, analytique, elle a une dimension culturelle, herméneutique et politique et a été proposée par Nasr Hamid Abou Zayd.

Un livre, deux regards
Ecole normale supérieure de Lyon

Le livre n’est-il que le support d’un texte, d’une œuvre ? C’est aussi un objet, qui se caractérise par sa mise en page, son papier, ses caractères d’imprimerie, sa reliure, son illustration, en un mot par sa technique et son histoire propres. Mettez un spécialiste de littérature et un historien du livre devant le même ouvrage, ils ne verront pas la même chose…

« Un livre, deux regards » aborde sous deux angles différents sept ouvrages, du XVe au XIXe siècle, pour vous faire découvrir les trésors de collections lyonnaises. Les documents, choisis parce qu’ils sont exceptionnels ou particulièrement représentatifs, sont présentés par des spécialistes, qui vous montrent ce qui retient leur attention et mérite explication : ainsi l’Hypnerotomachia Poliphili ou songe de Poliphile (1499) constitue à la fois une prouesse typographique, due au grand imprimeur de Venise, Alde Manuce, et un texte d’une richesse foisonnante. Pour en rendre compte, dialoguent une conservatrice des bibliothèques et une universitaire, qui soulignent les détails remarquables d’un ouvrage devenu mythique et qui reste mystérieux pour bien des raisons.

De même deux voix alternent pour décrire et surtout révéler les implicites d’un ouvrage beaucoup plus tardif et sans aucune valeur bibliophilique ou d’érudition, mais très intéressant pour l’histoire de l’édition, un exemplaire de la collection Ad usum Delphini ; d’autres encore permettent de découvrir comment se fabriquent les ouvrages de Jules Verne et comment se constitue un public au temps de l’industrie du livre : phénomène que l’on ne comprendra que si l’on évoque son éditeur, Hetzel. Mais ces voix ne sont ni discordantes, ni opposées : elles se renforcent l’une l’autre. Comment envisager autrement le Livre de Pomorié, ce livre manuscrit suscité par des conflits théologiques au cœur de la Russie du xviiie siècle ? Il faut entrer dans une histoire séculaire pour mesurer les conséquences de ces affrontements et les déchiffrer au fil des pages.

Il faut aussi deux éclairages différents pour apprécier pleinement l’importance en leur temps des « caractères de civilité », qui nous renvoient à l’idéal d’éducation et de sociabilité d’Érasme, donc à une composante essentielle de l’humanisme. Et si un incunable témoigne du rôle que pendant des siècles Virgile joua dans la culture classique, il révèle aussi les débuts de l’imprimerie et permet de mesurer le chemin parcouru depuis le xve siècle. Dernier aspect qui méritait d’être évoqué : le phénomène étrange de la bibliophilie, abordé grâce à un Montaigne relié de manière étonnante, qui voyagea dans les collections des plus riches amateurs avant d’arriver à la bibliothèque municipale de Lyon, et dont le texte donne l’occasion d’exposer les difficultés auxquelles sont confrontés, aujourd’hui plus que jamais, les éditeurs des Essais.

Histoire du livre, histoire de la lecture, histoire culturelle, autant de champs qui doivent s’ouvrir à tous ceux, littéraires et philosophes, qui s’intéressent aux textes avec le souci d’en reconstituer les conditions initiales de lecture pour mieux en pénétrer le sens ; autant de champs qui réciproquement doivent s’enrichir des usages et des méthodes de ces lecteurs passionnés.

C’est dans cette perspective qu’il faut replacer ces sept rencontres autour d’un livre ; sept moments de discussion et d’échange des connaissances, qui permettent aussi de guider ceux qui découvrent le domaine du livre ancien, en offrant des ouvrages rares et précieux aux regards, innombrables, de tous ceux qui aiment les livres.