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5 résultats pour votre recherche 'Bouddhisme'
Tri décroissant par
Les mandalas du bouddhisme ésotérique au Japon : l...
Le Mans Université

Le bouddhisme ésotérique porte à son paroxysme la perméabilité entre différentes traditions religieuses, unifiées sous l’ombrelle du bouddhisme. A ce titre, il joue un rôle majeur à une époque, celle du début de la période médiévale japonaise, où la religion et l’Etat sont perçus comme étant en relation sinon de symbiose, du moins d’interrelation fondamentale. Les mandalas qui y sont produits au Japon entre l'IXe et le XIIIe siècles illustrent une manière d’ordonner un ensemble foisonnant de divinités et de représenter l’univers bouddhique.

Religions et représentation figurée
Le Mans Université

Au cours de la problématique de la représentation figurée sont posées, depuis 25 siècles et pour des croyants de différentes confessions, trois questions :

Comment représenter ce qui est conçu comme transcendant ? Est-il possible, souhaitable et permis de restituer par la plume, le pinceau ou divers autres instruments un geste créateur concernant le vivant ? Quel type de relation le croyant/la croyante peut-il/elle ou doit-il/elle entretenir avec cette représentation ?

L’intérêt de cette histoire consiste à montrer que chacune des traditions religieuses, en fonction des lieux et des moments, a pu véhiculer des positions contradictoires. Trois moments apparaissent particulièrement saillants : les VIIe-VIe siècle avant l’ère chrétienne, marqués par la mise par écrit d’un interdit et de récits montrant que celui-ci n’a pas toujours prévalu ; le VIIIe siècle au cours duquel se cristallisent pour les juifs, chrétiens et musulmans les principaux termes théoriques du rapport religieux à l’image ; les XIXe et XXe siècles marqués par une impossibilité croissante de la maîtrise du flux des représentations pour des raisons à la fois techniques et politiques.

Histoire du confucianisme : vue panoramique
Ecole normale supérieure de Lyon

Cette présentation panoramique trace, du point de vue philosophique et historique, quelques grandes lignes du confucianisme pré-impérial et du néo-confucianisme ainsi que les contextes intellectuels et politiques qui ont favorisé leur formation.

Dès ses origines, la pensée chinoise a fait appel aussi bien à l'intuition qu'aux formes abstraites de raisonnement. Même si le confucianisme qui devient une doctrine étatique à partir du IIe siècle av. J.-C. sous les Han constitue le soubassement de la culture des lettrés, il ne cesse d'être confronté aux autres modes de pensée de la même époque, comme le taoïsme, l'école nominaliste, le légisme et plus tard au bouddhisme qui est introduit en Chine à partir du Ie siècle après J.-C. Ces confrontations non sans heurts contribuent sous les Song (960-1279) à un renouveau de pensée sans précédent : le néo-confucianisme, courant confucéen qui s'inspire de l'apport du taoïsme et du bouddhisme tout en les critiquant.

Évolution du confucianisme coréen
Ecole normale supérieure de Lyon

Cette présentation souhaite remonter à la période antique coréenne pour mieux saisir comment se sont faites la naissance et l'évolution des idées confucéennes au cours de l'histoire.

On observera d'abord la période pré-philosophique puis le temps des Trois Royaumes lorsque le confucianisme était dans une relation ouverte avec le bouddhisme et le taoïsme. On prendra en considération l'évolution des idées sous la période de Koryô avant que ne se fasse au 13e siècle l'introduction du néo-confucianisme qui fleurit durant la dynastie Yi fondée en 1392. Sur cette base on présentera les grandes figures néo-confucéennes coréennes jusqu'à la formation du courant des Lumières appellé sirhak, c'est-à-dire l'étude du réel qui débuta à partir de la fin du 17e siècle.

La Corée est habituellement présentée comme un pays qui a été presque uniquement imprégné d'un néo-confucianisme orthodoxe de l'école de Zhu Xi (Chu Hsi 1130-1200). Cependant elle est moins connue pour sa créativité de pensée qui n'en est pas moins réelle. La Corée n'a introduit les caractères chinois, et avec eux la culture philosophique, que dans les premiers siècles de l'ère chrétienne. Ainsi les Coréens ont-ils été confrontés à la tâche redoutable d'assimiler des idées et une sagesse qui s'étaient développées pendant presque mille ans.