Estampillage UOH
  • Estampillage UOH (12)

Discipline
  • Arts (1)
    • Arts visuels et plastiques (1)
      • Arts graphiques, gravures et estampes (1)
  • Langues, Littératures et Civilisations étrangères (2)
    • Espagnol (1)
      • Civilisation (1)
    • Portugais (1)
      • Littérature (1)
  • Lettres classiques, Langues et Littératures françaises et de France (6)
    • Langue française (3)
      • Français (1)
      • Langage (2)
    • Lettres classiques (1)
      • Littérature grecque classique (1)
    • Lettres-Approches transversales et méthodologie (2)
      • Approches transversales (2)
      • Méthodologie (1)
  • Sciences de l'homme (22)
    • Homme-Approches transversales et méthodologie (1)
      • Approches transversales (1)
    • Philosophie (7)
      • Morale (éthique) (6)
      • Philosophie politique (1)
    • Psychologie (2)
      • Psychologie appliquée et comparée (2)
    • Sciences des religions (9)
      • Histoire et théorie de la religion - concepts transversaux - analyses comparées (9)
    • Sciences du langage (3)
      • Sociolinguistique (3)
  • Sciences de la société (22)
    • Géographie, Aménagement (1)
      • Géographie humaine (1)
    • Histoire, Histoire de l'Art, Archéologie (19)
      • Histoire de l'Afrique (1)
      • Histoire de l'Europe (7)
      • Histoire générale (12)
    • Sciences de l'information et de la communication (1)
      • Le livre (1)
    • Sociologie, Démographie, Anthropologie (4)
      • Sociologie des groupes sociaux (1)
      • Sociologie des processus sociaux (2)
      • Théories sociologiques, ethnologiques, anthropologiques et méthodologie (1)
    • Société-Approches transversales et méthodologie (1)
      • Approches transversales (1)

Niveau
  • Autres (1)
  • Doctorat (3)
  • Enseignement supérieur (32)
  • Formation continue (2)
  • L1 (9)
  • L2 (5)
  • L3 (8)
  • Licence (27)
  • M1 (3)
  • M2 (3)
  • Master (10)

  • Autoévaluation (2)
  • Conférence, table ronde et entretien (type UOH) (4)
  • Essentiel (type UOH) (4)
  • Etude de cas (2)
  • Etude et document (type UOH) (3)
  • Exercice (1)
  • Glossaire (2)
  • Grande Leçon (type UOH) (21)
  • Guide pédagogique (1)
  • Méthodologie (1)
  • Webographie, bibliographie (8)
32 résultats pour votre recherche 'Institution politique'
Tri décroissant par
Les institutions politiques et religieuses sous le...
Le Mans Université

L'émergence du mouvement saadien, au début du XVIe siècle, constitue un moment remarquable pour les historiens dans la mesure où ils peuvent fonder leurs recherches sur des sources écrites de plus en plus abondantes, marocaines mais aussi portugaises et hollandaises. Ce fait n'est pas fortuit, il résulte d'une volonté affirmée des Saadiens eux-mêmes : élaborer une historiographie comme idéologie et support politique afin de légitimer leur mouvement, initialement considéré par leurs adversaires comme une rebelle au makhzen, ce pouvoir central spécifique de la tradition marocaine, lié à la rupture des relations avec le califat abbasside par les Almohades et doté d'une base tribale. L'établissement du pouvoir des Saadiens marque un tournant dans l'histoire du Maroc.

Politique, religions et constructions étatiques (X...
Le Mans Université

Après la disparition de l’Empire romain d’Occident et l’affaiblissement de l’Empire romain d’Orient, l’espace méditerranéen est le lieu d’élaboration de nouveaux rapports à l’origine des constructions étatiques. C'est pourquoi, les auteurs de cette ressource présentent les théories du pouvoir (les premières théories médiévales de l'Etat en Castille et en France, les Almohades et la théorie du pouvoir durant le mandat de Fakhr-al-Din), les institutions politico-religieuses (l'évolution des monarchies française et anglaise, les institutions politiques et religieuses sous les Saadiens, à Genève au XVIe siècle et l'émirat des Chéhab), puis les pratiques du pouvoir (le royaume de Germanie, Les Zawiyas comme force politique centrifuge au Maroc, l'effondrement de l'émirat, l'anarchie et les formes supplétives de gouvernement, les pratiques politiques en Europe après la rupture de la Réforme).

De nombreuses références bibliographiques, des références biographiques et un glossaire sont proposés en complément du cours.

Changement confessionnel et accès à l'indépendance...
Le Mans Université

Le 21 mai 1536, l'assemblée des Citoyens de la ville de Genève accepte de se convertir à la Réforme mettant ainsi un terme au processus d'indépendance politique et religieuse entamé au début du XVIe siècle. Depuis 1517, les nouvelles idées réformées inspirées par Luther se répandent à travers le Saint Empire romain germanique gagnant peu à peu le reste de l'Europe. Sous l'influence de différents prédicateurs, les principes luthériens se diversifient et donnent naissance à des courants théologiques variés. À Genève, ce sont les idées de Guillaume Farel et de Jean Calvin qui influencent les nouvelles pratiques religieuses. Pour les Genevois, le changement confessionnel entérine la scission d'avec l'Église catholique romaine et coïncide avec la fin de la dépendance politique de la cité envers le prince-évêque et le duché de Savoie. 

Lo Stato
Ecole normale supérieure de Lyon

Les essentiels : La philo par les mots - Lo Stato

Histoire(s) de l'ergonomie (5/7) - L'institutionna...
Université de Lorraine

Cette cinquième partie « L’institutionnalisation : la création des organisations de support et de développement de l’ergonomie » de la Grande Leçon Histoire(s) de l’ergonomie permet de mettre en évidence la manière dont l’ergonomie s’est constituée en discipline scientifique structurée par des sociétés savantes en France et à l’international, en lien avec des organismes publics de recherche, des universités, des associations de chercheurs, des organisations syndicales et patronales. Il s’agit également de comprendre comment les institutions de formations à l’ergonomie et de recherche en ergonomie se sont développées de manière à produire des professionnels pour les secteurs de l’industrie, des mines, des services, de l’informatique, de la formation, de la recherche… Cette institutionnalisation progressive s’est structurée par diverses histoires d’organisations, parmi lesquelles : La Société d’Ergonomie de Langue Française (SELF), l’Association Internationale d’Ergonomie (IEA), des organismes de recherche, de prévention, de sûreté, de sécurité et de fiabilité (INRS, IMDR), des associations chercheurs (CNRS, ARPEGE, RJCE, EACE), des organismes de professionnalisation (CREE, ARTEE, SNCE). Ces organisations ont contribué à la production de cursus de formation en ergonomie qui se sont développés dans les universités, de manière à satisfaire les demandes sociales, les enjeux politiques et éthiques, les besoins économiques, les nécessités de simplicité des produits pour les utilisateurs et les citoyens…  Les auteurs - Eric Brangier (Université de Lorraine) et Annie Drouin (Société d’Ergonomie de Langue Française) - vous proposent d’aborder cette partie avec Nelcy Arévalo Pinilla, Javier Barcenilla, Béatrice Barthe, Christian Bastien, Eric Brangier, Jean-Marie Cellier, Christine Chauvin, Jean-François Cholat, François Daniellou, Annie Drouin, Elie Fadier, Pierre Falzon, Irène Gaillard, Jean-Michel Hoc, François Hubault, Bronislav Kapitaniak, Alain Lancry, Jacques Leplat, Thierry Morlet, Michel Neboit, Pierre Richard, Jean-Marc Robert, Jean-Claude Sperandio, Laerte Idal Sznelwar, Jacques Theureau, Arnaud Tran Van et Gérard Valléry.

16 - Francesco Guicciardini (1483-1540), Dialogo d...
Ecole normale supérieure de Lyon

"La nature des choses en vérité" Bernardo del Nero analyse, dans le débat avec les trois autres interlocuteurs, ce que l'on peut et doit déceler derrière les mots. Dans cette perspective, il commence par le socle de l'histoire républicaine : " il nome della libertà " (p. 65-66) puis la question de l'equalità (p. 71 sqq.).

La liberté ne sert parfois qu'à couvrir l'ambition comme le montre bien l'histoire florentine, et dissimule la nature des choses.
Elucider quelle est cette nature des choses, voilà le chemin que Bernardo entend parcourir dans le dialogue. Dans cette logique-là, le meilleur gouvernement est celui qui produit les meilleurs effets et peu importe son espèce .


C'est une des raisons pour lesquelles, selon Bernardo, la liberté et l'égalité ne signifient pas que tout le monde puisse avoir accès au gouvernement ni qu'une redistribution des richesses puisse être entreprise.Un gouvernement libre doit seulement assurer l'égalité de chacun devant la loi et s’assurer qu’aucun citoyen ne puisse en opprimer un autre.

D'où deux conclusions : d'une part, doivent avoir accès au gouvernement ceux qui le méritent, qui ont les compétences appropriées et qui retireront de leur activité de justes récompenses (premi) ; d'autre part, le discours de la réforme concerne le gouvernement pratique et les institutions mais pas l'organisation de la société ou l'économie des familles.

15 - Francesco Guicciardini (1483-1540), Dialogo d...
Ecole normale supérieure de Lyon

"Temps de la fiction et temps de l'écriture"
Le temps de la fiction : le dialogue renvoie à la fin de l'année 1494 ; on ne peut réfléchir sur le meilleur des gouvernements pour la république florentine sans revenir au début du processus, en 1494.
A partir de 1494 rien ne sera plus comme avant : la qualità de tempi change radicalement et les vieilles solutions de la politique oligarchique communale ne sont plus efficaces. Entre 1521 et 1525, quand Francesco Guicciardini écrit son dialogue, le retour au lointain hiver 1494-1495 désigne le retour nécessaire à un moment historique qui constitue le socle du présent.

Le temps de l'écriture: le dialogue présente schématiquement trois états : un premier manuscrit autographe (désigné traditionnellement comme le manuscrit A), un manuscrit dicté à un secrétaire (mss B) portant lui-même des corrections de l’auteur (constituant la version C).
Les trois versions du proemio renvoient probablement à ces trois étapes.
Si la rédaction A du dialogue, nous l'avons dit, date de la seconde moitié de l'année 1521 (après la fin juillet, date à laquelle il est nommé commissaire général de l'armée, avant le 1er décembre date de la mort de Léon X), la rédaction B est probablement dictée, par l’auteur selon ses habitudes, entre mai 1524 (date de sa nomination comme gouverneur de Romagne) et janvier 1526 (date de son départ pour Rome où il va devenir un des plus proches conseillers du pape Clément VII), voire beaucoup plus tôt (Palmarocchi évoque juin 1525).

Quant aux interventions de l'auteur constituant la rédaction C, la troisième rédaction du proemio semble montrer qu'elles ont eu lieu avant la chute des Médicis en mai 1527.

Cette complexe construction du texte traduit le double enjeu de l'écriture : comment le dialogue réel (avec Machiavel et avec les autres réflexions sur la réforme des institutions républicaines) se fictionnalise et comment la fiction parvient à dire le réel. Bref, comment s'articulent la fonction politique de l'écriture et la littérarité de cette écriture politique.

17 - Francesco Guicciardini (1483-1540), Dialogo d...
Ecole normale supérieure de Lyon

"Une république tempérée"

Bernardo présente, dans le livre II, l'architecture des institutions à mettre en place et la meilleure façon de les faire vivre (et ici prend tout son sens le substantif de "vivere" comme forme de vie politique, régime en actes, incarnée dans une société déterminée).

Ce socle est fondé sur quelques convictions :

  • la libertà est ancrée à Florence ;
  • le peuple ne peut gouverner car il ne sait pas ;
  • le poids du gouvernement repose toujours sur les épaules d’un petit nombre de sages ("sempre si regge in su la virtù di pochi" dit Soderini) ;
  • cela ne signifie pas qu’il faille instaurer un gouvernement aristocratique au sens classique du terme ;
  • tous les gouvernements ont des qualités et des défauts et il ne s’agit donc pas de déterminer le meilleur d’entre eux mais "el manco cattivo" comme le déclare Piero Guicciardini, à savoir notamment le gouvernement qui assure la sicurtà à la cité.

Bernardo va alors exposer les cadres principaux de ce gouvernement "manco cattivo". Le fondement principal et l'âme (p. 149) de ce gouvernement à la fois populaire et bien ordonnée sera le Grand Conseil.


Ce conseil permet d'incarner l'equalità à laquelle tiennent tant les Florentins - et qui représente le primo fondamento di conservare la libertà - sans entrer dans des débats infinis sur le domaine dans laquelle celle-ci doit se déployer. Mais ce n'est pas lui qui aura la charge d’élaborer les lois et d'en discuter (c'est la fonction des conseils restreints) : sa seule prérogative sera de les approuver. Une série de conseils restreints prendra garde notamment aux fonctions régaliennes majeures : le fisc, la justice, l'ordre public et la sécurité de l'Etat.

A l'instar du doge vénitien, un gonfalonier à vie pourra représenter la république en tant que proposto ou priore sans autorità particulière. La vraie autorità del governo devrait revenir à un sénat dont les membres sont nommés à vie et qui choisiraient dans leurs rangs les membres du conseil des Dix députés à la guerre.

La réflexion sur le sénat est décisive pour penser le nouveau groupe dirigeant, ses modalités de constitution et d’action. Le sénat accueille des hommes qui ont montré leur capacité par leur grado (c’est-à-dire pour l’essentiel leur naissance dans une des grandes familles) mais aussi par leur merito En définitive c'est un gouvernement temperato à la vénitienne qui est dessiné à grands traits par Bernardo. 

2 - Le laboratoire florentin - L'art de gouverner...
Ecole normale supérieure de Lyon

Ce cours et les deux suivants présentent les grandes lignes de l'histoire de Florence et les effets des guerres sur la cité (1494-1537) ; il s'agit de mettre en évidence ce que l'on peut nommer le « laboratoire florentin » dans lequel s'élaborent les textes de Savonarole, de Machiavel et de Francesco Guicciardini que nous allons étudier:

  • A. La naissance du Grand Conseil : Florence, novembre-décembre 1494.
  • B. 1494-1512 : le débat interne et l'institution du gonfaloniérat à vie (1502).
  • C. 1512-1527 : la première restauration des Médicis.
  • D. 1527-1530 : la seconde République du grand conseil.
  • E. 1530-1537 : La restauration définitive des Médicis : Alessandro de Medici (1530-1537) ; élection de Cosimo I (1537).