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Le patrimoine castanéicole en Midi-Pyrénées
Cette vidéo de 15 minutes, tournée dans le Var, l'Aveyron, et dans le Midi-Pyrénées évoque le patrimoine castanéicole ene Midi-Pyrénées.
L’objectif de ce film est de montrer la diversité de l’agro-ressource que représente le châtaignier et la castanéiculture. La châtaigneraie est un milieu original, totalement anthropisé et avec sa propre écologie. Ce film montre différents systèmes de production en Aveyron, dans le Tarn et le Tarn et Garonne, ainsi que dans le Var, où la vieille châtaigneraie du Massif des Maures a été relancée par rénovation dans les années 70 et sert aujourd'hui d'outil de production (surtout pour l'élaboration de confiture de châtaignes) mais aussi de rempart protecteur contre les incendies. Dans d’autres secteurs, elle est fortement abandonnée, voire en péril.
Le châtaignier, l' "arbre à pain", a joué dans les zones de moyenne montagne de Midi-Pyrénées un rôle primordial dans les sociétés rurales. Il constituait, avec le seigle, une des bases de l'alimentation humaine et animale. Le châtaignier a ainsi sauvé de la famine bien des habitants misérables pendant les périodes de disette.
Pour préserver la diversité des variétés de châtaignes sélectionnées au fil du temps, en Aveyron, à Rignac, a été créé un Conservatoire qui préserve aujourd’hui une soixantaine de ces variétés locales.
Un certain renouveau de la châtaigne se fait ressentir avec un nouvel intérêt pour le fruit et sa transformation et entraîne de nouvelles plantations de vergers modernes, plus adaptés à la mécanisation de la production des châtaignes.
L'analyse de la crise du XXIème siècle (Crise(s) :...
L'analyse de la crise du XXIème siècle.
Programme proposé par l'ENS de Lyon, dans la série Les Essentiels "Crise(s) : Regards croisés".
Pierre Dockès nous apporte ici son regard de Professeur de sciences économiques.
Des systèmes productifs locaux aux pôles de compét...
A travers l'exemple des systèmes productifs locaux et des pôles de compétitivités, l'auteur développe un argumentaire non seulement économique mais aussi géographique sur le passage d'une structuration industrielle locale et régionale à un système européen et mondial en France au début des années 2000.
Dès lors, quel est alors le rôle et quelles sont les conséquences des politiques de soutien des organismes régionaux, nationaux et transnationaux sur le développement du tissu des PME et PMI en France ?
Les animaux ont-ils des langues ?
C’est une question très difficile, à laquelle on réfléchit au moins depuis Aristote, depuis l’Antiquité, et, finalement, on n’arrive pas à avoir de réponse tranchée à cette question. Pendant longtemps, on a eu l’impression ...
Des prisons en Afrique : expériences, modèles et c...
Largement tributaires de discours médiatiques, les prisons en Afrique sont souvent réduites à des images d’espaces surpeuplés et délabrés, signes d’Etats « en crise ». En miroir, elles deviennent l’un des objets de la réforme des Etats, à l’intersection des champs judiciaire, sécuritaire et sanitaire. La question carcérale apparaît alors sur certains agendas politiques, formulée à l’occasion de prises de position locales, dans des projets nationaux ou encore dans des programmes de coopération.
Ce cours a pour objectif de vous aider à mettre en perspective ces discours et ces actions. Il propose ainsi de donner à comprendre les dynamiques carcérales du continent africain dans leur diversité géographique et dans leurs régimes d’historicité pluriels. Il aborde l’expérience carcérale en s’appuyant sur des enquêtes de terrain. Il reviendra aussi sur les enjeux des politiques et des réformes pénitentiaires, et des stratégies des acteurs impliqués. Alternant des études de cas, des entretiens et des réflexions plus théoriques, ce cours doit vous aider à renforcer vos capacités d’analyse et d’action (recherche-action, plaidoyer, ...).
Cet enseignement articule réflexion théorique et approches empiriques de la prison et propose un regard nouveau sur le carcéral en Afrique.
Jack Goody et l'empire de la littératie (version i...
Jack Goody et l'empire de la littératie est une Grande Leçon en anthropologie de l'écrit proposée par Mohammed Kara et Jean-Marie Privat (Université de Lorraine).
Jack Goody parle de l’écriture pour souligner tout d’abord qu’il s’agit à ses yeux de l’invention la plus importante dans l’histoire de l’Humanité. Mais d’où provient cette puissance performative, cette force qui crée un monde sur le papier et qui s’impose de plus en plus à (en) nous ? D’un système de signes dont l’efficace repose sur le principe sémiotique de la substitution : mettre des signes écrits à la place d’objets ou d’idées au point de présenter et de représenter les comptes et les codes d’une cité, les flux des personnes et des biens, les imaginaires d’une culture, le monde magico-religieux, etc. Il souligne également des propriétés tout aussi importantes : le pouvoir de cumulation et de réflexivité des systèmes d’écriture, quels qu’ils soient.
Mais il ne s’agit pas pour autant de soutenir l’idée d’un « Grand partage » qui lierait l’écriture à une pure raison graphique et l’oralité, en quelque façon, au monde primitif des affects.
L’oralité a sa raison propre. Il reste que de l’écriture monumentale aux communications numériques, la diversification des usages et des compétences a été d’une ampleur considérable. On peut même dire qu’aujourd’hui les productions de l’écrit sont, au sens propre, illimitées.
Cette ressource est accessible pour les personnes atteintes de handicaps visuels et auditifs.
Changement social et principe associatif (1/3) - L...
L’étude du changement social, proposé par Guy Bajoit, nous propose de contextualiser et de mettre en perspective la production du champ associatif.
Guy Bajoit nous montre comment les solutions données pour résoudre les problèmes vitaux de la vie collective finissent par modifier le modèle culturel. De même, il nous explique comment ce tout, en s’agrégeant, forme un système dont sa conclusion est le changement de société. De ce fait, cette partie nous invite à contextualiser et à mettre en perspective la production du champ associatif.
"De la théorie à la pratique de l'anthropologie vi...
"Il existe aujourd’hui un intérêt croissant pour l’anthropologie visuelle, même si personne ne sait très bien ce que c’est. Son nom même est un acte de foi, comme un costume qui a été acheté un petit peu trop grand dans l’espoir de grandir avec. En fait, ce terme recouvre un certain nombre d’intérêts fort différents. Certains conçoivent l’anthropologie visuelle comme une technique de recherche, d’autres comme un champ d’étude, d’autres comme un outil d’enseignement, d’autres encore comme un mode de publication, et d’autres enfin comme une nouvelle approche de la connaissance anthropologique (...)"
"En réfléchissant à l’anthropologie, nous avons tendance à oublier qu’elle est constituée autant par les enquêtes sur le terrain que par l’écriture et la lecture de textes. On pourrait même dire qu’il y a deux anthropologies, l’une s’exprimant largement au travers de la littérature et l’autre, pour une grande part inexprimée. Ces deux perceptions ne sont pas forcément en conflit, mais elles se différencient tellement par les qualités qu’elles appréhendent, et sont cependant si étroitement imbriquées qu’elles peuvent engendrer une certaine perplexité quant à l’anthropologie elle‐même dans l’esprit du chercheur. La première est l’anthropologie de la culture considérée comme méthodique, restrictive et envahissante. Elle est principalement concernée par les continuités consensuelles et systémiques dans la vie des personnes. La seconde est l’anthropologie culturelle envisagée comme fertile, productive et libératrice. Elle considère que la culture a moins d’influence sur les individus, et qu’elle leur offre plutôt les moyens d’entremêler la signification et le sens de soi dans des aspects plus largement partagés de la vie sociale. Son point de départ, et son objectif, est de savoir comment la culture est vécue par ceux qui finissent par lui donner forme et par la recréer pour eux‐mêmes. Il est bien possible qu’elle mette ainsi l’accent sur les aspects que la première anthropologie rejette (…) Cette seconde anthropologie – cette « structure plus intime de la culture » peut ainsi constituer l’un des fondements de l’anthropologie visuelle du futur."
"Le récent intérêt pour l’anthropologie visuelle a deux sources supplémentaires. La première est l’attention croissante portée par les anthropologues aux diverses expressions de la culture visuelle (incluant le film, la vidéo, la télévision), de la production d’images populaires (par exemple, la photographie, la peinture d’enseignes et les affiches) et de l’essentiel de ce qui était autrefois étudié sous la dénomination d’anthropologie de l’art. Ces modes d’expression visuels forment souvent les fils de systèmes culturels plus larges que Barthes décrivait comme les « tresses » de codes différents. A travers tant d’interconnections, l’anthropologie visuelle peut jouer un rôle dans l’étude de la plus grande partie de ce qui n’est pas visuel dans la société humaine. La seconde source d’intérêt pour l’anthropologie visuelle réside dans la capacité des formes visuelles (particulièrement le film et la vidéo) à devenir un médium reconnu de l’anthropologie − un moyen d’explorer les phénomènes sociaux et d’exprimer la connaissance anthropologique (…)"
David Macdougall, « L’anthropologie visuelle et les chemins du savoir », Journal des anthropologues [En ligne], 98-99 | 2004, mis en ligne le 22 février 2009, consulté le 09 février 2012.
Entreprises et société : éléments pour une analyse...
Cet ouvrage se propose d’explorer l’entreprise et son milieu dans une optique « sociale », en suivant une démarche critique. Il s’agit donc d’aller au-delà de l’aspect purement technique de la gestion et d’analyser la logique sous-jacente aux stratégies étudiées communément. Explorer les critères qui président à la prise de décisions au sein d’une entreprise, c’est identifier la logique de l’accumulation du capital sous la forme de profits. Dès lors, l’étude de la gestion se lie indissociablement à celle du mode de production capitaliste et aux rapports de force sociopolitiques qui le caractérisent, ce qui permet de comprendre en même temps pourquoi sa logique tend progressivement à s’insinuer dans le fonctionnement d’autres institutions sociales a priori non marchandes (l’école, l’université, l’hôpital).