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Veuves de guerre et orphelins : la question des pe...
"Veuves de guerre et orphelins : la question des pensions" est le cours n°3 du thème "Le retour des hommes et la reconstruction" du Mooc Verdun #3 "Verdun, d'hier à aujourd'hui", présenté par Jérôme Dumont, Professeur d'Histoire-Géographie et membre du Service éducatif du Mémorial de Verdun.

Situation coloniale et crise épidémiologique: la l...
En parallèle à l'exposition EnQuête de Santé, le MEB / Musée d'Ethnographie de l'Université Bordeaux Segalen et le département d'Anthropologie organisent un cycle de conférence sur le thème de la santé.
Après avoir dépeint la situation sanitaire de l’Afrique à l’époque de la colonisation, l’anthropologue Jean-Pierre Dozon, montre comment cette colonisation, notamment par l’ouverture de voies de communication au sein du territoire africain, ou par les déplacements de populations pour motifs économiques, a favorisé l’expansion de pathologies graves, comme la maladie du sommeil. Et comment les méthodes « militaires » de lutte contre la maladie ont souvent conduit à des révoltes de la part des populations indigènes.
Pour finir, Jean-Pierre Dozon établit une comparaison avec l’autre grande pathologie qui décime actuellement une grande partie de l’Afrique, le SIDA.

La mort comme fondation des sociétés humaines
Les attitudes fondamentales des hommes et des cultures à l'égard de la mort se modifient dans l'histoire. Source de grands mythes et de croyances (immortalité, résurrection...) à l'époque pré-moderne, la mort perd, avec la rationalité et l'individualisme, tout fondement réel. L'homme la nie et la rejette devenant se faisant un individu a-mortel. Cette crise contemporaine de la mort qui s'intensifie avec les guerres mondiales du XX° siècle, guerres de sacrifice et guerres-massacre, est une cause du mal être de notre société : la mort est devenue inhumaine.

Demain : laïcité ou barbarie
Dans les années 70, la France bousculée par la crise de l'Etat-providence et un fort individualisme voit renaître de très anciens groupes d'appartenance. L'individu, isolé et fragilisé, se retranche dans des communautés qui demandent la reconnaissance de leur identité et des droits spécifiques : on est breton, basque, musulman...
Parallèlement, on assiste à un retour aux pratiques sectaires et irrationnelles : le vide laissé par les religions traditionnelles et les idéologies est comblé par les sectes, les religions exotiques. Dans ce contexte d'extinction du moi au profit du nous communautaire, la laïcité perd de sa substance et le communautarisme barbare s'étend. A l'origine du débat actuel sur la laïcité, ces deux phénomènes mettent aujourd'hui en danger démocratie et Etat de droit français.

L'espoir à l'épreuve du progrès
Comment aider l'homme à sortir de la désespérance où le plonge l'angoisse existentielle de nos sociétés modernes individualistes ? Par l'espoir ou par le progrès, deux réponses distinctes, pour ne pas dire diamétralement opposées puisque l'espoir est une attente irraisonnée alors que le progrès est une action volontaire, un effort engagé.
Ainsi, l'espoir, par la passivité, l'inaction dont il s'accompagne, faute de changer les choses, ramènera sans cesse l'homme à la désespérance car ses espoirs seront tôt ou tard déçus. En revanche, comme l'ont développé les stoïciens, le progrès, généré par l'éducation, la connaissance et le raisonnement seul permettra à l'homme d'affronter son destin et de parvenir à la sagesse et la félicité.
Ces deux attitudes face au désespoir humain ont entretenu des rapports complexes et conflictuels durant l'histoire, influençant alternativement différentes époques. Ainsi, la pensée progressiste qui se développe avec Sénèque, marque à nouveau l'humanisme de la renaissance et des lumières, et plus tard la pensée de Marx sur le progrès social. Or, à toutes ces époques, cette idée de progrès a fini par être dévoyée et s'est transformée en messianisme irrationnel, le progrès, conçu comme une force extérieure qui ne nécessite ni volonté ni effort, devenant la projection dans l'avenir d'une société idéale ou d'un homme nouveau : l'espoir renaît alors, qui aboutira de nouveau au désenchantement et à la désespérance. Le XXe siècle avec ses crises, ses guerres, ses génocides...sera l'expression la plus évidente de cette déviation du sens du progrès vers ce nouvel espoir messianique. Mais cette nouvelle situation désespérée au sens philosophique du terme devrait conduire l'homme à se reprendre en main, à s'engager activement, seule réponse possible car efficace.

Des prisons en Afrique : expériences, modèles et c...
Largement tributaires de discours médiatiques, les prisons en Afrique sont souvent réduites à des images d’espaces surpeuplés et délabrés, signes d’Etats « en crise ». En miroir, elles deviennent l’un des objets de la réforme des Etats, à l’intersection des champs judiciaire, sécuritaire et sanitaire. La question carcérale apparaît alors sur certains agendas politiques, formulée à l’occasion de prises de position locales, dans des projets nationaux ou encore dans des programmes de coopération.
Ce cours a pour objectif de vous aider à mettre en perspective ces discours et ces actions. Il propose ainsi de donner à comprendre les dynamiques carcérales du continent africain dans leur diversité géographique et dans leurs régimes d’historicité pluriels. Il aborde l’expérience carcérale en s’appuyant sur des enquêtes de terrain. Il reviendra aussi sur les enjeux des politiques et des réformes pénitentiaires, et des stratégies des acteurs impliqués. Alternant des études de cas, des entretiens et des réflexions plus théoriques, ce cours doit vous aider à renforcer vos capacités d’analyse et d’action (recherche-action, plaidoyer, ...).
Cet enseignement articule réflexion théorique et approches empiriques de la prison et propose un regard nouveau sur le carcéral en Afrique.

Prisons in Africa : experiences, models and circul...
Largely dependent on media discourse, prisons in Africa are often reduced to images of overcrowded and dilapidated spaces, signs of "States in crisis". Simultaneously, they become one of the objects of state reform, at the intersection of the judicial, security and health fields. The prison issue then appears on certain political agendas, formulated on the occasion of local position statements, in national projects or in cooperation programmes.
The objective of this course is to help you put these speeches and actions into perspective. It thus proposes to offer an understanding of the prison dynamics of the African continent in their geographical diversity and in their plural historical regimes. It addresses the prison experience through field surveys. It will also discuss the challenges of prison policies and reforms, and the strategies of the actors involved. Alternating case studies, interviews and more theoretical reflections, this course should help you to strengthen your analytical and action capacities (action research, advocacy, etc.).
This course combines theoretical reflection and empirical approaches to prison and offers a new perspective on prison in Africa.

Histoire(s) de l'ergonomie (7/7) - Prospective : P...
Septième et dernière partie de la Grande Leçon Histoire(s) de l’ergonomie, « Prospective : perspectives sur le futur de l’ergonomie » prend le risque de la prévision et cherche à porter un regard, à la fois critique et enthousiaste, sur l’avenir de l’ergonomie. Tantôt teinté de pessimisme, parfois même défaitiste sur l’évolution de l’emploi et des conditions de travail empestées par les crises successives, l’ergonomie se révèle également être plein d’espoirs et d’attentes pour corriger des situations de travail pour concevoir des produits et des usages, et également pour définir des besoins et des innovations qui n’existent pas encore. Ainsi, à partir d’interviews qui montrent que l’ergonomie s’est constituée initialement sur l’amélioration des conditions de travail liant ainsi son destin à l’évolution des emplois et des entreprises, cette partie souligne que de nouvelles formes d’ergonomie sont en train de se développer aujourd’hui et se développeront demain. En effet, les technologies nouvelles (réalité virtuelle, nouvelles interfaces…) ne cessent de poser des questions à l’ergonomie pour arriver à réaliser des produits efficaces, sûrs et conviviaux. De la même manière les évolutions démographiques (vieillissement, formation) et économiques (mondialisation, culture…) impliquent de produire des modèles pour comprendre les actions à mener pour garantir de hauts niveaux de satisfaction des personnes et de performance des entreprises. Enfin, cette partie propose de considérer que l’ergonomie est en train d’évoluer : elle s’est constituée en étant d’abord une ergonomie corrective, puis est devenue une ergonomie préventive, et est peut-être en train de devenir une ergonomie prospective, centrée sur les besoins futurs et devant élaborer des méthodes et des modèles prédictifs… Les auteurs - Eric Brangier (Université de Lorraine) et Annie Drouin (Société d’Ergonomie de Langue Française) - vous proposent d’aborder cette partie avec René Amalberti, Nelcy Arévalo Pinilla, Christian Bastien, Eric Brangier, Béatrice Cahour, François Daniellou, Françoise Darse, Jean-Michel Hoc, François Hubault, Véronique de Keyser, René Patesson, Jean-Marc Robert, Jean-Claude Sperandio et Gérard Valléry.

Entreprises et société : éléments pour une analyse...
Cet ouvrage se propose d’explorer l’entreprise et son milieu dans une optique « sociale », en suivant une démarche critique. Il s’agit donc d’aller au-delà de l’aspect purement technique de la gestion et d’analyser la logique sous-jacente aux stratégies étudiées communément. Explorer les critères qui président à la prise de décisions au sein d’une entreprise, c’est identifier la logique de l’accumulation du capital sous la forme de profits. Dès lors, l’étude de la gestion se lie indissociablement à celle du mode de production capitaliste et aux rapports de force sociopolitiques qui le caractérisent, ce qui permet de comprendre en même temps pourquoi sa logique tend progressivement à s’insinuer dans le fonctionnement d’autres institutions sociales a priori non marchandes (l’école, l’université, l’hôpital).